Le Bhabha Atomic Research Centre (BARC), basé à Mumbai, a récemment fait appel à la fabrication additive pour la production d’un échantillon de pièce métallique miniature. Les composants métalliques miniatures jouent un rôle essentiel dans plusieurs applications critiques de la robotique miniature (bio-robotique), notamment dans le domaine des dispositifs d’électroporation personnalisés tels que l’administration de médicaments, le prétraitement des aliments, la thérapie cosmétique de la peau, etc.

Compte tenu de leur taille et de leur complexité, la fabrication, la gestion de la production et les livraisons en temps voulu de ces composants par des procédés de fabrication conventionnels posent plusieurs défis – qui peuvent tous être relevés par la FA métal.

Au niveau de la fabrication, BARC a collaboré avec la société technologique Intech Additive Solutions, basée en Inde, une société que vous avez sans doute découverte grâce à ses logiciels et ses solutions de FA métal. La pièce a été fabriquée à l’aide de la série d’imprimantes 3D métal iFusion LF d’Intech Additive.

BARC a commencé à concevoir la pièce à l’aide d’AMOptoMet (un logiciel de développement de paramètres d’alliage) et d’AM Builder d’Intech, et l’équipe Design for AM (DfAM) d’Intech l’a optimisée à l’aide des mêmes outils.

« À mon avis, les ingénieurs d’Intech ont un bon sens de l’intelligence technique, un sens pratique et du leadership », a déclaré le Dr Debanik Roy, scientifique à la Division de la télémanipulation et de la robotique du BARC. « J’ai observé que les ingénieurs suivent le « raisonnement de premier principe », ce qui est essentiel pour toute solution indigène prête à l’emploi pour une nouvelle technologie. Je suis fier de dire que dans un court laps de temps de six mois, les ingénieurs d’Intech ont atteint le sommet de la fabrication authentique orientée produit avec persistance et passion. »

La pièce imprimée en 3D a une longueur de 33 mm avec un boîtier cylindrique et une face avant conique. Au centre de la construction se trouve une « bague de retenue », d’une épaisseur de 1,5 mm, intégrant un trou de 0,9 mm de diamètre. Sa capacité à bien fonctionner était cruciale pour le succès de la pièce. Le composant a également été assemblé avec un couvercle d’extrémité mesurant 6,5 mm de hauteur.

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Yosra K.
Passionnée de nouvelles technologies, j’ai découvert l’impression 3D à travers différentes expériences professionnelles. Consciente de l’importance de cette technologie pour les marchés d’aujourd’hui et de demain, c’est avec plaisir que je vous partage les dernières informations et analyses qui y ont trait, afin qu’à votre tour, vous puissiez en tirer profit. #Restezconnectés #3DAdept