Des chercheurs canadiens utiliseront la technologie de fabrication additive EBM pour étudier les métaux structuraux

3D Printing General Electric in Garching bei Muenchen. Foto: General Electric / Gerhard Blank www.gerhard-blank.de www.luftbildmuenchen.com fon: 0049 171 2888481

La technologie electro-beam melting (EBM) de GE Additive est actuellement au cœur de la recherche sur les matériaux additifs au Canada.

Foto: General Electric / Gerhard Blank
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À la suite d’un important investissement du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), le Holistic Innovation in Additive Manufacturing Network (HI-AM) réunit des experts en fabrication additive métallique de sept universités canadiennes pour étudier les questions scientifiques fondamentales associées à la préfabrication, à la fabrication et à la post-fabrication des composants par une gamme de technologies de FA. Cette recherche portera principalement sur les métaux structuraux.

Afin d’encourager l’utilisation de la fabrication additive métallique par les industries manufacturières canadiennes, l’équipe de chercheurs doit faire avancer un certain nombre de points clés, notamment le traitement et la caractérisation avancés des matériaux, la synthèse des poudres, le développement des alliages, la simulation et la modélisation avancées des procédés, la planification précise du parcours des outils, les contrôles, la détection et les applications.

« L’impression 3D métal augmentera considérablement les capacités de ce que nous pouvons fabriquer en utilisant des métaux structuraux. Dans le secteur des transports, cela ouvre de nouvelles possibilités d’allégement et d’amélioration de l’efficacité des systèmes aéro-propulseurs et des transmissions automobiles, y compris les moteurs thermiques électriques et conventionnels.  Dans le secteur biomédical, cette technologie permettra aux médecins d’adapter la géométrie des implants squelettiques à l’anatomie de l’individu et d’utiliser des matériaux plus compatibles avec les systèmes biologiques, améliorant ainsi considérablement les résultats pour les patients », a déclaré le professeur Steve Cockcroft.

La fusion par faisceau d’électrons en R&D

Plus la FA évolue, plus les chercheurs développent une nouvelle gamme de solutions pour mieux comprendre les matériaux.  Dans cette recherche spécifique, les équipes qui travailleront sur ce projet étudieront à la fois les aspects scientifiques des matériaux et l’aspect logistique de la vente.

En effet, les processus de transport dans les opérations commerciales constituent un autre Saint-Graal de l’industrie et pourraient entraîner d’autres coûts pour les fabricants et/ou acheteurs. Sur le plan scientifique, l’ajout du système Q20plus aidera l’équipe de l’Université de la Colombie-Britannique à mettre au point de nouveaux modèles numériques robustes et efficaces qui deviendront les nouveaux outils de simulation des différents aspects du procédé de fusion par faisceau d’électrons sur lit de poudre (PBF).

Plusieurs paramètres doivent encore être pris en compte. Cependant, une chose est certaine : la recherche aura un impact certain sur la productivité des procédés, la qualité des pièces et des composants et augmentera de fait, l’adoption de la technologie du faisceau électronique dans les secteurs de l’aérospatiale, du transport automobile et du médical.

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