Cody Wilson holds what he calls a Liberator pistol that was completely made on a 3-D-printer at his home in Austin, Texas on May 10, 2013. Jay Janner/Austin American-Statesman via AP, File - (French: Cody Wilson tient ce qu'il appelle un pistolet Liberator entièrement fabriqué sur une imprimante 3-D à son domicile d'Austin, au Texas, le 10 mai 2013. Jay Janner/Austin American-Statesman via AP, Dossier)

Il s’agirait de la première usine de ce type découverte en Espagne, qui contenait un équipement d’impression 3D en état de marche, capable de fabriquer des canons de fusils.

L’histoire s’est déroulée à Santa Cruz de Tenerife, en Espagne. Le propriétaire d’une usine fabriquant des armes imprimées en 3D a été inculpé de possession illégale d’armes et d’explosifs.

Une réplique de fusil d’assaut, des armes légères, plusieurs canons, deux tasers et une machette figuraient parmi l’arsenal saisi dans une usine espagnole dont on a découvert qu’elle produisait des armes imprimées en 3D.

Depuis que l’impression 3D est devenue accessible à un large éventail de personnes, l’utilisation de la technologie pour la production d’armes à feu a souvent soulevé plusieurs questions au sein de l’industrie. Jusqu’à présent, ce débat controversé n’avait été principalement discuté qu’aux États-Unis.

« La première usine de ce type découverte en Espagne contenait également du matériel d’impression 3D en état de marche, capable de fabriquer des canons de fusils en deux minutes seulement », a indiqué la police nationale espagnole dans un communiqué.

Les agents ont fait une descente dans l’atelier illégal de fabrication d’armes à Santa Cruz de Tenerife, dans les îles Canaries (Espagne), et ont arrêté le propriétaire.

Il y avait également des manuels sur le terrorisme, la guérilla urbaine et la façon de fabriquer des explosifs à domicile à l’aide d’une imprimante 3D, ainsi que de la littérature suprématiste blanche et un étui de pistolet portant le symbole de l’armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.

« Une équipe spécialisée de chiens de l’équipe de déminage TEDAX de la police a reniflé des substances chimiques pouvant être utilisées pour fabriquer des explosifs », indique le communiqué.

La police a également trouvé neuf chargeurs de munitions, deux silencieux, deux pièces pour des canons de fusils et un moule en plastique pour fabriquer des gâchettes, des viseurs et d’autres petites pièces d’armes.

L’opération a eu lieu le 14 septembre de l’année dernière mais est restée secrète sur ordre d’un juge, jusqu’à ce que la police soit autorisée à publier des détails dimanche dernier.

Source: Reuters. N’oubliez pas que vous pouvez poster gratuitement les offres d’emploi de l’industrie de la FA sur 3D ADEPT Media ou rechercher un emploi via notre tableau d’offres d’emploi. N’hésitez pas à nous suivre sur nos réseaux sociaux et à vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire : FacebookTwitterLinkedIn & Instagram !