Swinburne, IMCRC et Tradiebot Industries lancent un service de réparation pour voitures, exploitant l’impression 3D

« Repair Bot », est un service de réparation automatisé qui tirera parti des technologies d’impression 3D et de la robotique, ainsi que des matériaux complexes pour fixer les pièces de voiture en plastique. Le projet collaboratif est lancé par Swinburne, Centre de recherche coopérative sur la fabrication innovante (IMCRC) et Tradiebot Industries.

Cela pourrait ressembler au programme d’innovation ouverte de Techniplas qui vise à rassembler divers spécialistes de l’industrie de l’impression 3D afin de faire progresser l’industrie automobile. Amples explications peuvent être lues dans le numéro de février du magazine 3D Adept Mag, dédié à l’industrie de l’impression 3D (PP-12-13).

Une solution pour résoudre les problèmes rencontrés par l’industrie de la réparation automobile

Repair Bot vient du besoin de trouver des solutions technologiques aux problèmes rencontrés par l’industrie de la réparation automobile. Nous faisons précisément référence au gaspillage de matériel, aux éléments de conception complexes et restrictifs et au manque de main-d’œuvre qualifiée.

Les forces de chaque partenaire

En plus de créer des opportunités d’exportation significatives et des avantages pour l’environnement en réduisant la mise en décharge, les avantages de ce projet, selon Mario Dimovski (fondateur de Tradiebot Industries), dépasseront l’industrie des collisions automobiles. L’entreprise fournira de nouvelles compétences à l’industrie depuis que les processus deviennent de plus en plus automatisés.

Swinburne apportera l’expertise de son équipe de R & D et des compétences de « résolution de problèmes » dans le projet. Ceci est essentiel car plusieurs aspects du système automatisé comprendront la réparation de composants en plastique.

Mario Dimovksi (au centre) estime que le partenariat peut apporter des bénéfices au delà de l’industrie de la réparation de plastique automobile. – Images via Swinburne

Quant au CEO et directeur général d’IMCRC, David Chuter, il voit dans la collaboration une source d’avantages pour les fabricants australiens. « C’est un partenariat unique qui explore et investit dans les technologies de fabrication de pointe. C’est un bel exemple de la façon dont l’innovation axée sur la recherche permet à l’industrie australienne de la réparation automobile de relever les défis et de saisir les opportunités de l’économie mondiale », explique-t-il.

Enfin, le service Repair Bot de Tradiebot a déjà recueilli plus d’1,2 million de dollars en financement, et des recherches seront effectuées tout au long de 2018 et 2019.

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