L’impression 3D alimentaire évolue à petits pas et pourtant effectue des étapes marquantes dans l’industrie alimentaire. Les entreprises d’impression 3D spécialisées dans cette industrie innovent et offrent également des services qui ne sont pas vraiment éloignés des entreprises d’impression 3D qui offrent des services pour la production de biens et de produits de consommation non comestibles. Un de ces services est la capacité de produire en petites séries.
Procusini, spécialiste allemand de l’impression 3D alimentaire, répond à cette demande avec sa troisième génération de systèmes d’impression 3D alimentaire Procusini. La société propose désormais l’application « petite série de production » et de nouveaux aliments qui peuvent être modélisés en 3D.
Les professionnels de la gastronomie et de la restauration peuvent désormais être plus diversifiés dans leurs choix et saisir l’opportunité de créer des formes plus complexes dans la préparation des plats.
« Avec des messages texte, des logos et des objets en 3D, le professionnel peut enrichir de manière totalement inédite des menus entiers sur des événements ou peut mettre de beaux accents lors de la décoration du buffet », explique la société. Dans la même veine, même s’il n’utilise pas l’imprimante 3D alimentaire Procusini, le top chef hollandais Jan Smink a récemment ouvert son restaurant dans le but de proposer des aliments imprimés en 3D dans toutes ses variétés.
Des pâtes pouvant être modélisées en 3D et bien d’autres
Le spécialiste de l’impression 3D alimentaire a lancé la troisième génération Procusini accompagnée de pâtes, de purée de fruits Cassis et Choco.
Cependant, les pâtes sont disponibles en quatre couleurs et peuvent être modélisées en 3D. Les pâtes 3D permettent de proposer un repas amusant et savoureux. En effet, les professionnels peuvent créer des messages texte ou des noms copieux, de petits objets selon l’occasion, des logos et des faits saillants passionnants. « En ajoutant des huiles et des fonds différents, le chef peut ajouter une touche personnelle aux pâtes 3D. »
Quant au Cassis, il permet de créer des accents de couleur fruités et frais tels que des logos et des tatouages de plaques.
Techniquement parlant…
Les spécificités montrent que la surface de production du système d’impression 3D alimentaire est de 25 x 15 cm, soit deux fois plus grande que celle de l’ancien modèle. Selon la société, plus de 80 Choco-objets en filigrane peuvent être produits en série en une seule fois.
Les modèles imprimés en 3D sont exposés de manière impressionnante. Le concept d’exploitation et la fonction de mise à jour automatique ont été améliorés.
Enfin, les utilisateurs peuvent soit expérimenter leurs propres aliments, soit choisir des produits du portefeuille alimentaire Procusini.
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