C’est au salon Bourget (qui a eu lieu du 19 au 25 juin 2017 à Paris) que GE dévoile ATLAS, probablement la plus grande imprimante 3D du marché dédiée à l’aérospatial. Il s’agit d’une imprimante de frittage de poudre du marché.
Après deux ans de recherche et développement, les experts affirment que ses capacités dépasseraient celles de la machine XLine 2000R de Concept Laser dont le volume d’impression est estimé à 800 x 400 x 500 mm, ainsi que celle de l’imprimante 3D métal d’Aeroswift.
En effet, l’ATLAS possèderait un volume d’impression de 1000 x 1000 x 1000 mm. Elle fabriquerait des objets à géométrie et échelle personnalisables grâce à de nombreux matériaux tels le nylon, des métaux réactifs et non-réactifs tels l’aluminium ou le titane.
Mohammad Ehteshami, Vice-Président et Directeur Général de GE Additive affirme que la « machine fabriquera en 3D des pièces d’avion d’un mètre de diamètre et sera idéale pour créer des composants structurels et des pièces de moteur. [De plus, elle] pourra également servir aux constructeurs automobiles et aux secteurs de l’énergie et pétrolier. »
D’autres informations sur ATLAS seront dévoilées au salon Formnext de novembre 2017.
Jusqu’ici le marché du géant américain semble aller bon train de part et d’autre du monde. Entre les accords signés par Concept Laser (où GE détient la majorité des parts), ou des investissements en Allemagne, cette expansion témoigne des opportunités de marché qu’offre l’impression 3D pour aujourd’hui et demain.
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