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GE Additive et le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud ont signé un protocole d’accord pour développer l’impression 3D à l’échelle industrielle à l’Arotropolis Western Sydney.

Représentée par le premier ministre Gladys Berejiklian dans le cadre de cette signature, la Nouvelle-Galles du Sud (NGS) est un important centre culturel mondial et Asie-Pacifique. Avec une population diversifiée de 7,7 millions d’habitants, la Nouvelle-Galles du Sud est l’État le plus ancien, le plus grand et le plus cosmopolite d’Australie. Sa puissance économique présente une économie plus grande que Hong Kong, la Malaisie et Singapour.

Le protocole d’accord a été signé à Munich il y a deux jours. Pour le spécialiste de la FA GE Additive, qui ambitionne d’apporter une plus grande contribution dans la région APAC, c’est un honneur de travailler sur cette initiative conjointe.

« L’adoption d’une approche écosystémique de la fabrication additive est logique, mais étant donné la richesse des talents, des ressources naturelles et de l’ambition de la Nouvelle-Galles du Sud pour l’avenir, nous sommes particulièrement enthousiasmés par l’impact que notre collaboration pourrait avoir, non seulement en Nouvelle-Galles du Sud, mais à l’échelle nationale et plus largement dans la région APAC », a déclaré Jason Oliver, Président et CEO de GE Additive, à l’issue du sommet.

« Notre partenariat avec GE Additive va créer de nombreux emplois de haute technologie dans les secteurs de l’aérospatiale, du médical et de l’automobile », a déclaré le premier ministre Gladys Berejiklian. « L’amélioration des capacités d’impression 3D sera l’un des principaux éléments d’une nouvelle plaque tournante de l’industrie spatiale à l’aérotropole. En fait, selon Mme Berejiklian, leur objectif est de tripler la taille du secteur spatial australien à 12 milliards de dollars d’ici 2030, créant ainsi jusqu’à 20 000 nouveaux emplois dans cette seule industrie. »

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L’Australie, une région à surveiller

Au cours des deux dernières années, nous avons été témoins d’avancées importantes sur le marché australien de la fabrication additive. Des entreprises comme Titomic et Aurora Labs ont su se distinguer parmi d’autres de la même gamme en représentant le pays sur la scène internationale.

D’autres initiatives conjointes ont été lancées afin de promouvoir l’adoption de la FA dans le pays. Dans un autre protocole d’accord signé par MSC Software et RMIT University. L’université prévoit d’accroître les capacités de son centre de fabrication de pointe en Australie, qui combine l’expertise des chercheurs en matière de technologie et d’innovation en conception. Même si les grandes lignes de l’accord n’ont pas été divulguées, on pourrait s’attendre à ce que l’Université RMIT tire profit du logiciel Simufact de MSC Software qui offre une approche multi-échelle pour résoudre les défis de l’industrie.

En R&D, on peut rappeler la création d‘iFix, un stylo d’Impression 3D qui corrige les lésions oculaires.

GE Additive joue elle-même un rôle majeur dans le développement de l’industrie du pays. Que ce soit par le biais de son programme d’éducation ou de l’utilisation croissante de ses systèmes de FA par les entreprises australiennes, l’entreprise se positionne comme un partenaire de confiance sur le marché australien de la FA.

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