L’impression 3D sur métal est toujours considérée comme un procédé de fabrication coûteux. Certaines entreprises peuvent donc recourir à l’utilisation de poudres métalliques bon marché pour leur production, ce qui n’est pas toujours une idée brillante. LPW Technology, spécialiste des poudres métalliques, explique pourquoi.
Comment définir la « Qualité » ?
Selon notre expert, la « Qualité » se définit par la régularité de l’approvisionnement, la traçabilité totale et la fiabilité des performances des matériaux. La cohérence de l’approvisionnement et la traçabilité sont contrôlées par des systèmes de gestion de la qualité robustes, des méthodes de fabrication optimisées et des chaînes d’approvisionnement fiables, tandis que les propriétés de la poudre elle-même déterminent les performances du matériau.
Contrairement aux techniques conventionnelles, l’impression 3D permet la réutilisation d’un lot de matériaux qui a déjà servi. En effet, « l‘argument économique en faveur de la réutilisation de la poudre est fort, plus vous pouvez réutiliser un lot de poudre, plus le coût final par pièce est faible, sur la base d’une réduction du « gaspillage » de poudre. Le nombre de fois qu’un matériau peut être réutilisé est souvent déterminé par l’utilisateur ou par une norme industrielle perçue, mais dans les deux cas, la performance du matériau dans la livraison des pièces conformes à l’exécution est généralement la mesure clé. »
Alors, que devrions-nous considérer ?
Trois facteurs clés doivent donc être pris en compte : le coût par pièce, le nombre de constructions viables qui peuvent être réalisées à partir d’un seul lot de poudre, et le nombre de pièces qui peuvent être produites dans chaque production.
En ce qui concerne le coût final par pièce, il convient de noter qu’il peut être influencé par un certain nombre d’éléments. Le coût des matières premières est souvent une question clé dans la fabrication, que ce soit dans les procédés conventionnels ou en FA, cependant, dans ce cas, la réutilisation de la poudre signifie que le coût final par pièce n’a pas à refléter le coût initial de la poudre par kilo.
En ce qui concerne les deux autres facteurs, la société a expliqué que le nombre de pièces produites dans une seule construction est entièrement spécifique à l’application et dépend de la taille de la pièce et de la taille du volume de construction disponible. Le nombre de constructions qui peuvent être réalisées pour un seul lot dépend de la vitesse à laquelle la poudre dépasse les limites de la spécification. A ce stade, nous devons considérer l’influence de l’évolution de la poudre, précisément la façon dont un matériau diffère de la spécification initiale.
Pour des informations exclusives sur l’impression 3D, abonnez-vous à notre newsletter et suivez-nous sur les réseaux sociaux !
Voulez-vous figurer dans le prochain numéro de notre magazine numérique ? Envoyez-nous un email à contact@3dadept.com
//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});