Le fabricant britannique d’imprimantes 3D RPS a lancé sa nouvelle série d’imprimantes 3D : la gamme de stéréolithographie Neo, disponible en deux modèles : la Neo450e et la Neo450s.
La nouvelle série est avant tout basée sur la Neo800, le produit phare de la société. Des États-Unis à la République tchèque et au Royaume-Uni, la Neo800 a convaincu plusieurs fabricants de pièces de la nécessité d’utiliser la technologie SLA. Si ces fabricants font l’éloge de la grande surface de construction des imprimantes 3D, un avantage qui les a attirés est le fait que l’imprimante 3D est un système de matériaux ouvert.
Dans le but d’offrir plus de flexibilité et de polyvalence aux opérateurs, RPS développe les deux imprimantes 3D avec des objectifs spécifiques à l’esprit.
Les principales différences entre la Neo450s et la Neo450e sont la taille des pièces et la vitesse de production. La Neo450s est conçue pour les pièces répétables de petite à moyenne taille, tandis que l’autre imprimante 3D industrielle offre des performances et une polyvalence qui s’ajoutent à tous les avantages de la Neo450s. En outre, la Neo450s serait 40 % plus rapide que la Neo450e.
« Nous avons développé l’imprimante 3D Neo pour aller de l’avant et transformer les attentes de la stéréolithographie. Heureusement, l’époque de la finition manuelle de pièces de mauvaise qualité à partir de matériaux fragiles est révolue. Les pièces imprimées par Neo rivalisent à la fois avec la qualité et la précision des pièces moulées par injection directement à partir de l’imprimante. Avec la série Neo450, nous avons voulu concevoir et développer une machine fiable et polyvalente qui offre plus de fonctionnalités aux clients. Avec la Neo450e, les clients peuvent produire des pièces complexes de qualité industrielle à partir d’une imprimante 3D abordable. Avec les Neo450, les clients peuvent maintenant produire rapidement des pièces de petite et moyenne taille en SD ou construire des pièces complexes en HD sur l’ensemble de la zone de construction », déclare David Storey, directeur de RPS, en parlant du lancement.
Les deux imprimantes 3D ont plusieurs caractéristiques en commun
Tout d’abord, les deux imprimantes 3D peuvent être utilisées en mode de construction standard (SD) ou haute définition (HD). Ces modes de construction sont un excellent moyen pour les opérateurs d’économiser de l’argent car ils n’auraient plus besoin d’utiliser plusieurs systèmes avec des fonctions différentes.
Tout comme pour la Neo800, le fabricant a gardé ses nouvelles imprimantes 3D ouvertes en termes de matériaux. Jusqu’à présent, DSM a été le principal partenaire de RPS en matière de matériaux. Il a soutenu les clients de RPS en développant des matériaux dédiés à l’impression 3D SLA, le dernier en date étant le photopolymère avancé nommé PerFORM Reflect.
En outre, la résolution de numérisation de la société permet de réduire le temps de finition jusqu’à 50 %, tandis que les services connectés tels que l’appareil photo intégré, les rapports d’avancement envoyés par e-mail et les mises à jour de statut aident l’opérateur à surveiller attentivement le processus de fabrication.
Les imprimantes 3D Neo peuvent facilement trouver leur place dans les bureaux de F1, d’automobile et de services. Avec cette version, le fabricant britannique donne à l’impression 3D SLA une place de choix dans les applications industrielles, aux côtés des technologies de FA métal et FDM.
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