En seulement deux ans d’activités, UpNano a développé des systèmes d’impression 3D haute résolution basés sur la polymérisation à 2 photons qui suscitent un intérêt croissant au sein des industries.
L’année dernière, la spin-off de la TU Wien avait démontré comment sa technologie pouvait fabriquer des éprouvettes de flexion et de traction de la taille d’un cm. Selon l’entreprise technologique viennoise, le système d’impression 3D à 2PP est capable de fabriquer des pièces de douze ordres de grandeur, ce qui permet de produire des microparties polymères de l’ordre du nanomètre au centimètre.
L’entreprise est fière de sa capacité unique à répondre aux exigences de l’industrie et des universités grâce à cette technologie de production ultra précise. En effet, la polyvalence de la conception de la machine peut être adaptée aux spécifications des clients. « Les atouts particuliers du NanoOne sont un laser de haute puissance, un chemin optique optimisé, la technologie de résolution adaptative brevetée et des algorithmes de balayage laser spécialement développés », assure l’entreprise.
Les premières utilisations du système d’impression 3D 2PP d’UpNano révèlent des applications de production de composants hautement transparents. Le laser de haute puissance du NanoOne permet de fournir l’énergie nécessaire pour polymériser ce matériau spécifique, et l’équipe de ce client anonyme a également reçu une équipe de spécialistes internes d’UpNano pour développer le matériau conformément aux exigences exactes du client.
Bernhard Küenburg, CEO d’UpNano, commente la réussite de la coopération et de l’accord : « Le NanoOne convainc grâce à une technologie de résolution adaptative innovante qui, associée à un chemin optique optimisé et à des algorithmes intelligents, utilise toute la puissance de notre laser exceptionnellement puissant. Tout cela nous permet d’ajouter au système des fonctionnalités spécifiques qui répondent aux demandes individuelles des clients, comme celles de nos partenaires industriels ».
Les futures applications, réalisées cette fois par deux universités de la région DACH et une université scandinave, démontreront les capacités du système d’impression dans le domaine des sciences des matériaux, en particulier les particules étrangères et les procédures d’appel d’offres.
Suite à cette entrée réussie sur le marché, l’entreprise a également doublé la surface de son siège social à Vienne et a nommé un nouveau directeur des ventes mondiales, qui a fait ses preuves dans le secteur.
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